Besoin d'un traitement contre la morosité?

En bon docteur je vous proposerai l'amitié!!

*Amitié concentré sous forme de gélule, à consommer à n'importe quel moment de la journée. Ce traitement n'entraine comme unique effet secondaire, une légère dépendance à ses amis. En cas de doutes veuillez consulter votre médecin... ou votre mère. A vous de choisir.*

Voilà j'ai été le témoin d'une situation peu commune. Une fille que je connais depuis peu... Une simple collégue à sombrée dans la folie. Comme ça le début de mon article à le mérite d'être fracassant et met tout de suite dans le bain.

Oui cette fille est tombée sous mes yeux...  Elle m'a appelée en pleine nuit je savais qu'elle était en pleine détresse, elle voulais parlé, mais elle était en plein délire, j'aurai pu choisir de m'en battre tout en sachant que j'étais debout à 5h le lendemain, mais moi quand quelqu'un me demande de l'aide, je le lache pas doncje me suis lever de mon pieu et je l'ai rejoint... J'ai essayé de tout faire pour l'aider mais pas moyen, même le samu m'a envoyé chier, apparament comme ça n'était pas physique ils en avaient rien à battre de mon appel. Et moi je me suis retrouvé seul à gérer les délires d'une femme, la violence physique et dans ses propos qu'elle dégagait, à faire en sorte qu'elle ne fasse pas de mal à ses 2 petits enfants d'à peine 5 ans, et essayait de trouver une solution. J'en avais le coeur gros car je savais ce qui allais lui arrivé dans un proche avenir: l'internement, la perte de la garde de ses enfants, la perte de son boulot.

J'ai essayé de reculer un max le moment où elle devrait passer par les urgences psy, mais c'était inéluctable.

Et voilà, à 25 ans sa vie est fini, elle rentre dans un systéme où on en ressort presque jamais, le pire c'est qu'elle s'en rendra même pas compte. Elle va laisser sur la touche deux petits mômes.

La cause de tout ça? Un mariage forcée à 20 ans, conséquence de l'esprit moyen âgeux de ses parents, un divorce prématuré, 2 gosses à gérer seul, un boulot payer la misère où on te fait pas de cadeau à la limite du harcélement, une dépression qui pointait le bout de son nez ne sachant pas la gérer comme elle ne pouvait consacrer du temps pour soi, elle a sombrée. Trop de pression, son esprit, il a laché, il est en asystolie.

Et moi qui l'est forcée à aller voir son toubib tout en sachant qu'il l'enmenerai au urgence psy. Même si je sais que c'était la meilleure solution. J'ai quand même l'impression d'avoir presser la détente du revolver qui l'a achevé, alors que j'aurais pu choisir de pas répondre à son appel, elle en serait ptet pas là.

"Voilà merci de m'avoir consacrer une minute à lire ce texte, mais j'avais besoin d'en parler."

Quand EDO veut jouer aux héros, par moment il ferrait mieux de rester couché.

L'autre jour j'ai surpris une conversation  de la gente féminine, complotant pour faire disparaître à jamais cette chose qui compte beaucoup pour nous les hommes, je veux bien sur parler de notre bidoche!

L'ennemi a mis au point plusieurs stratégies!

-La première nous affamer à coup de brocolis vapeur et salade de noix

-La deuxième supprimer notre approvisionement en bières

-Infiltrer des diététiciens dans nos rangs

-Privation de plaisirs de la chaire

-Détruire tous nos stocks de biscuits apèro!

-Nous forcer à les accompagner à la piscine tous les dimanches pour leurs séances d'aqua gyms!

C'est pour ça qu'il faut élaborer toute urgence une contre attaque sans quoi ces petits kilos inoffensifs risque d'être rayer de la carte.

La gente féminine ne comprend pas que nous nous sentons bien avec cette petite ceinture adipeuse qui nous tiens chaud l'hiver et nous permet de poser quelque part notre bière l'été, elles ne comprennent pas non plus qu'on ne compart pas que notre pénis et nos muscles mais aussi notre bidoche! Elles ne comprennent pas non plus qu'elle nous permet de flotter dans l'eau et qu'avec on fait des économies d'achats de bouées! Et que lorsqu'elles tombent enceinte nous les accompagnons physiquement pendant la grossesse en mangeant deux fois plus qu'elle!

Je conclurais en disant qu'une chose:

VIVA LA BIDOCHA!!!!!!!!

Aaaahh qu'est ce que je donnerai pas pour vivre un an (parce que après cha fait long ^^) aux caraïbes avec mes potes loin de tous les tracas que notre société à crée tel que le stress, le devoir de rentabilité au boulot, vivre que pour l'argent, une société qui freine de plus en plus nos droits. Mouais ça serait le pied (hey allusion à la photo ), à nous pochtroner la gueule à coup de rhum toutes les soirées, retrouver des plaisirs simples, avoir sa gueule à la plage toute la journée..... AAaaaaahhh *rêveur*

N'empêche je crains qu'une chose... c'est que la société que je critique, nous est rendu dépendant justement à elle. Je m'explique aujourd'hui qui pourrait se passer de:

-Internet, sa télé, l'envie de posséder le dernier portable high tech, de sa bagnole, son petit confort à la maison... 

Vous allez me dire personne à moins de jamais l'avoir connue...

Ralalala nous sommes tous des camés de cette société. *soupir*

espèce de *SALOPERIE!!!*