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Jeudi 16 février 2012 à 12:07

 
 
Bonjour la populasse!

Au détour de mon bouquin où je dépose les murmures que ma muse me murmure à l'oreille parfois, j'ai retrouvé un vieux texte qui me plait beaucoup. Je me demande même si je devrais pas le mettre en vidéo ou tout au moins le lire façon slam si je puis dire, à vous de juger ^^!


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"Petit garçon qui voulait un jour grandir,
a changé d'avis et ne veut plus que jouer et rire.
Il s'allonge dans les verts près, les yeux vers le ciel pour oublier;
toutes les images horribles des grands qu'on voit à la télé.
Le vent dans les arbres entonnent des chansons et les nuages dansent à l'horizon.
Pendant un instant il oublie que papa et maman n'ont plus d'argent à la maison.
Petit garçon ferme les yeux et entend son papi entonnent une chanson.
Lui murmurant à l'oreille un vieux conseil de grand garçon:

"La vie est belle mais aussi triste, mais avec une pincée de rêve tout s'éclaircit. N'oublie jamais ça mon petit fils."

 
Edo.

Dimanche 29 août 2010 à 17:53

Je n'aime pas le mois d'août.
Annonciateur de la mort prochaine de l'été,
et la reprise de cette monotone route.
Déjà par la fenêtre, je sens au loin le parfum de l'automne;
Feuilles jaune or et fruits du chataignier.
Les images d'une saison que je vois encore à l'horizon, devenant des souvenirs, doux et chaud comme ces brises venant sur mon visage, s'échouer.
Au loin la cloche d'une école sonne
Non plus de doute, c'est la fin de l'été,
Et ce fossoyeur froid d'un pas lent s'approche, à fin d'une fois de plus, l'enterrer.

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Mardi 27 juillet 2010 à 20:05

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Les mots d'amour, une fois qu'ils se sont envolés du rebord de nos lèvres,
son semblable aux pétales d'un cerisier a qui la brise décide de rendre la liberté.

Spectacle de toute beauté, étincelle née du mariage d'un soupçon de réalité et d'une poignée de rêve.

Ephémère , une courte existence se terminant à l'instant où leurs parfums délicats se posent gracieusement à la surface d'une étendue cristaline,
cette dernière caresse faisant vibrer notre âme.

Moment de courte durée depuis cet envol, et l'eau en retrouve vite son calme.

Cependant ce parfum, ce spectacle, ce souvenir, reste à jamais.


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Edo.

Jeudi 20 mai 2010 à 19:44

La vie est comme une rivière traversant une forêt.
Nous marchons tous sur la même rive et un jour, il faut passer de l'autre côté.
Le voyage ne s'arrête pas la, on continuera toujours de voir les siens qui sont sur l'autre rive.
On se ferra des signes de la main, on s'enverra des messages glissés entre les feuilles de nénuphars en fleurs.
Ceux qui sont passés de l'autre côté de la rivière veilleront toujours sur nous et en retour on ne les oubliera pas  le long de cette rive ensoleillée, jusqu'au jour où nous aussi à notre tour, nous traverserons cette étendue d'eau cristaline.

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Lundi 12 avril 2010 à 12:11

Quand le rideau tombe;
Et qu'il faut faire face.

Que dos au mur on ne peut reculer et que les dés sont jetés.

Les yeux flamboyants de ces démons vous toisant d'un regard remplit de menaces.

L'étreinte se fermant lentement, leur cercle autour de vous, de plus en plus oppressant.

La lumière tamisée du théâtre ondulant dans sa danse macabre, sur le rouge sang du rideau qui vient de se déchirer.

Un regard furtif lancé vers les balcons d'où les vôtres vous acclament, prêt à se joindre à cette mise à mort sur les planches.

Le premier sang a été versé, les pièces sur l'échiquier ont commencé à se réveiller.

Aucune place pour la chance.

Une rose du balcon jeté;
Et la bataille commence.

Avec tout mon coeur je commence cette danse.

Mais ce soir mon sang ne coulera pas sur les planches.

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Samedi 20 février 2010 à 18:36

Tâches sur un bout de papier;
La joie ou ces mots damnés.
Donner forme à l'allégresse;
Mettre au monde grâce à sa plume;
Ce qui est advenue de l'union entre les murmures de notre coeur et ces nuits où on se sent capable de caresser la lune.
Pour enfin en redescendre avec des mots remplis de passion ou de sagesse.
Raconter ces moments passé;
Sous mon arbre bleuté, en compagnie de celle que mon coeur à choisi d'aimer.
Ces tâches, je l'ai dépose parfois avec application ou sous la coupe d'une émotion.
Mais ce qui est certains, c'est qu'elles sont mon ticket;
Vers le monde des songes, de la volupté, de mon arbre bleuté.


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Edo.

Mercredi 17 février 2010 à 11:01

Nous vivons tous dans une cage aux barreaux dorées;
Dés notre plus jeune âge, acheter, consommer pour exister.
Chaque homme est un enfant de la terre;
Mais nos actes sont comparable à l'assassinat de notre mère.
Nul échappatoire;
Le troupeau qu'est le système ne tolère pas les moutons noirs.
Nous vivons pour et au nom du profit.
La clé pour s'évader?
Vivre dans le système mais demeurer seul maître de sa vie.
Tes biens on peut te les prendre, mais jamais on ne te retirera tes idées.


Edo

Jeudi 28 janvier 2010 à 18:18

Voyager, s'évader, passer le pas de sa porte;
Et se laisser prendre par la route jusqu'où notre imagination nous porte.
Partir à l'aventure avec celle qu'on aime;
En évacuant nos soucis que sur la route on séme.

Visiter des lieux;
En prendre plein les yeux.

Se laissé dépayser, sentir, goûter, aimer;
Et penser un jour dans son foyer, rentrer.
Car le principe d'un voyage, c'est qu'il a un début et une fin;
Mais maintenant il faut s'endormir, des souvenirs plein les yeux car le retour à la réalité se fait demain.

Edo.

 

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Lundi 11 mai 2009 à 12:27

Si je pouvais donner forme à l'inspiration et à la créativité;

Ca serrait celle d'un arbre bleuté.

Ses racines plongeraient dans nos rêves et nos vies;

Les absorberaient, les assimileraient et en serraient nourri.

Le mien grandit, petit à petit.

Ses feuilles bleus commencent à remplacer les bourgeons.

Il prend vie.

Et sur son écorce j'irrai graver ton nom.


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Mardi 5 mai 2009 à 21:29

4 petits plaisirs pour soi par jour, une pure recette pour être heureux! ^^

- prenez un ceste de temps, 5 min par ingrédients minimum;

-Choissez les biens, qu'ils ne servent qu'à améliorer votre quotidiens ou vous divertir et surtout qu'ils vous fassent sourire à la pensée que vous allez les accomplir;

-A chaques préparations du dit condiment videz vous l'esprit, ne pensez qu'au bien que vous fait ce simple petit plaisir;

-Une simple promenade, un quart d'heure de sport intensif (attention ne voyez aucune allusion déplacé là dedans! ;) ), une petite série?, ou encore un petit tour sur facebook pour vous décharger émotionellement sur la dernière photo qu'à publié la cruche de service;

-une fois ce petit plaisir terminé, respirez un grand coup, gardez le dans un coin de votre petite tête, n'oubliez pas nan plus de garder la chaleur de cette pensée positive dans votre coeur (thermosta 7 de préférence)

-Et renouvellez l'actions 4 fois minimum dans la journée et ne vous couchez pas temps que c'est pas terminé!




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Voilà ce que m'a appris cette dame, la psychotérapeute Anne ancelin Schrutzenberger et cela tout bêtement, je faisais ma tite sieste après le taf devant le magazine de la santé ( bah vi quand tu bosses dans la santé, une fois que t'as fini ta journée, tu trouves rien de mieux que de regarder des émissions sur le boulot! ><"), et cette psy qui avoisine les 90 balais, parlait de son dernier livre et pour elle de cette règle d'or de longévité qui a fait ses preuves auprès des malades atteints de cancer en phase terminale et qui trouve une force supplémentaire pour se battre pour la vie lorqu'ils ont vécu par plaisirs et non pour suivre le vieux cliché:je vais à l'école, je grandis, je travaille et je me reproduis pour ensuite mourir. Attention je ne veux pas dire que ceci est une généralité et que tout les malades du cancer pour qui le cancer a été plus fort en sont arrivé là parce qu'ils n'ont pas profité de la vie. Juste que certains cas de rémissions inespérés ne s'explique que par cette solution. Et puis ne pensez vous pas que la vie prend un toute autre sens lorsqu'on la vit pour le plaisir et non juste vivre pour vivre?

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